Hiroshimoi de Véronique Grenier

Ne dit-on pas que le premier baiser est le début de la fin. C’est un journal anachronique de fragments de pensées amoureuses. Pour ceux qui ne vivent pas l’amour comme un fleuve linéaire mais comme une sortie de vélo d’hiver. Rempli de remises en questions, de délires, de dépendance affective, de doute, de désir. On le lit en une soirée, ou plusieurs pour se dégourdir l’esprit.




Par Philippe St-Jacques