nous irons marcher
que nous descendions dans les rues à chaque semaine, à chaque soir comme au printemps érable, criant aux gens de descendre de leurs balcons pour remplir les rues avec nous, dans des cortèges toujours plus gros, occupant la ville à coups de casseroles et de Québec Libre
une foule dont l’ardeur s’autoalimentera par les chants et la poésie
plusieurs font encore du déni, mais la question se posera et il faudra y répondre. c’est le dernier épisode de la trilogie.
Par Philippe St-Jacques